Le court métrage de la semaine

Ce court métrage vous sera proposé en avant-programme du film Damien veut changer le monde

Photo du court métrage Je suis la clé du problème

Je suis la clé du problème

Gabin Ducourant, Eden Ducourant

En deux mots

Prix d’interprétation au Festival Nikon 2018 !

Synopsis

Alors qu’il sort du bureau, André va vite se rendre compte qu’une journée de merde peut très bien commencer le soir.

Pour aller plus loin

“Il y a des journées qui mériteraient qu’on leur casse la gueule”, proclamait, sur un ton bravache, le titre d’une mémorable comédie de court métrage, signée Alain Beigel, dans les années 1990. Le protagoniste principal de Je suis la clé du problème l’expérimente à ses dépens et comme il est toujours savoureux, depuis Chaplin, les Marx Brothers ou Tati, de se moquer des mésaventures de ses contemporains – même quand ils posent un pied dans une déjection canine ! – les deux minutes et quelques de ce film conçu dans le cadre du Nikon Film Festival 2018 (sur le thème de “Je suis un cadeau”) troussent une farce caustique, qui fait mouche jusque dans sa chute.
Cachant sa mauvaise humeur sous sa barbe, le comédien Marc Riso y a décroché un Prix d’interprétation et Gabin et Eden Ducourant – qui sont frère et sœur – prouvent savoir manier des références de divers horizons, de l’esprit potache des Sales blagues de Vuillemin à l’énergie de la série Bref de Canal+.

Générique

Scénario Gabin Ducourant
Musique François Villeveille
Interpretation Marc Riso


Durée 02’20 – Catégorie Fiction – Genre Humour – Pays France – Année 2018


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